le 01/07/2022
-Vous avez sans doute entendu parler du capital-investissement, également appelé private equity. De quoi s’agit-il ? Il consiste à prendre des participations dans des entreprises non cotées en bourse.
Selon la phase de maturité de l’entreprise qu’il finance, de sa création à sa vente, il prend le nom de :
Cet argent renforce les fonds propres des entreprises, ce qui leur permet d’obtenir des financements bancaires dans de meilleures conditions. Un cercle vertueux pour mener à bien leurs projets de développement. C’est aussi la raison pour laquelle ces investissements s’inscrivent dans un temps long, qui peut aller de 5 jusqu’à 10 ans, délai pendant lequel les fonds sont immobilisés.
Une nouvelle classe d’actifs
Aujourd’hui, cette classe d’actifs n’est plus réservée aux seuls investisseurs institutionnels (compagnies d’assurances, mutuelles, caisses de retraite, etc…), ni à des business angels fortunés. Des fonds permettent à chacun d’y investir une fraction de son épargne, au bénéfice des start-ups, PME (petites et moyennes entreprises) ou des ETI (entreprises de taille moyenne).
L’investissement peut être réalisé en direct au capital des entreprises, mais aussi à travers des fonds de capital-risque :
L’investisseur peut aussi acheter des parts de fonds de capital investissement à travers son compte titres et en achetant des unités de compte dédiées avec son contrat d’assurance-vie.
Les marchés émergents ont des atouts à faire valoir pour un investisseur en quête de niveau de rendement attractifs. Mais toutes les zones géographiques ne se valent pas et l’investisseur devra accepter un certain niveau de risque.
Décryptage
Lire la suite